Libres...

Mardi 15 Septembre

Aujourd'hui rime avec démocratie et liberté de l'instruction dans le calendrier des Journées Internationales... Et dans les deux termes, pour moi, c'est le mot "liberté" qui est mis à l'honneur. La démocratie , cette définition tellement précieuse de la société où chacun à son mot à dire, son existence quelle que soit son idéologie, sa couleur de peau ou son origine sociale. Notre pays est une démocratie où chaque région, chaque ville, chaque village est reconnu. Chaque citoyen peut exprimer son opinion librement, exercer son droit dans de multiples domaines sans être opprimé, étudier, travailler et vivre comme il le souhaite. C'est une chose qui est acquise et comme toutes les choses acquises, on a tendance à la considérer comme banale et normale. Nous avons accès à l'information, aux informations sans limites même si parfois, l'information est orientée, on le sait. Nous avons le droit de voter pour élire nos représentants à tous les niveaux de la société: en politique nationale ou locale, dans le monde du travail, à l'école même où les délégués des élèves sont le début de la prise de conscience des choix qui nous sont offerts. Un droit précieux car de nombreux pays subissent encore les lois de dirigeants autoritaires qui se retrouvent au pouvoir par la force et le garde par la violence. Alors il convient de garder en tête la fragilité de cette démocratie, comment les libertés peuvent être remises en question en peu de temps, pour la défendre. LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ, des mots gravés aux frontons de nos mairies et qui ne doivent jamais être oubliés. Comment ne pas penser aux dictatures très proches qui ont cerné notre pays, avec le franquisme espagnol, l'allemenagne Hitlérienne ou l'Italie de Mussolini pour ne citer que les plus proches. Comment gommer les sévices et les souffrances infligées durant toutes ces années aux citoyens de tous âges, même aux enfants. Comment ne pas avoir envie de se battre pour que dure la démocratie pour nos générations à venir... Libre de leurs choix, de leurs pensées, des leurs envies... Sans craindre que le bruit des bottes ou celui des armes ne vienne baillonner leurs mots !